Il s’agit dans un premier temps de formaliser la proposition de valeur, d’assurer l’adéquation du positionnement avec la cible et de définir le fonctionnement de la plateforme.

Dans un second temps, on pose l’ADN de la marque : son territoire, ses valeurs, ses expressions – dont notamment les piliers de la stratégie éditoriale. En parallèle, un travail sur l’identité est mené pour définir le nom et la signature.

Dans ce type de projet, l’enjeu est de poser les fondations de la marque alors que rien n’existe encore : tout est à créer. Il y a d’un côté une dimension stratégique, hyperrationnelle, qui consiste à répondre à une opportunité identifiée sur un marché de la manière la plus pertinente. De l’autre, une dimension créative, plus sensible, dont l’objet est la recherche d’une expression singulière qui va permettre d’orienter le storytelling.

À la croisée des deux, la plateforme de marque opère une synthèse, sous la forme d’un document qui deviendra référent au cours du développement de l’entreprise. Tant en interne pour la prise de décision et l’onboarding de collaborateurs, qu’en externe pour la prospection des marques partenaires et toute action visible de l’entreprise, dont le branding et la communication par exemple.